LA solution de filtration tangentielle
- pour supprimer l’utilisation des terres qu’on aura de plus en plus de mal à éliminer
- pour diminuer les rejets
- pour réduire les pertes de vins
- pour assurer la sécurité des opérateurs (silicose)
- pour mieux respecter le vin et ses qualités organoleptiques
- pour rendre la qualité de la filtration indépendante des opérateurs
- pour économiser sur les filtrations finales avant embouteillage
- les modules de filtration ont été étudiés pour donner en un seul passage l’équivalent de deux ou trois filtrations successives sur terres blanches et roses
- Quelle que soit sa turbidité initiale, le vin filtré sur l’OENOFLOW aura une turbidité < 1 NTU.
- L’OENOFLOW est conçu pour accepter les vins bruts. Il n’est pas nécessaire, et surtout pas conseillé de centrifuger le vin auparavant. De même, il est inutile de préfiltrer le vin sur terre blanche avant son passage sur tangentielle.
- Oui. L’OENOFLOW est équipé d’une crépine métallique à mailles de 200 µm qui va retenir les cristaux de tartre avant l’entrée dans les modules. Attention quand même : le débit de filtration sera d’autant plus faible que la température du vin sera basse.
- L’OENOFLOW est équipé de 6 modules donnés théoriquement pour un débit de 8 hl/h chacun soit un total de 48 hl/h sur l’unité. En pratique, on a des débits allant de 30 hl/h pour un vin rouge très chargé à plus de 100 hl/h pour certains vins blancs ou rosés.
- L’OENOFLOW peut fonctionner 24 heures sur 24. L’unité XL6S peut donc traiter environ 600 hl de vin en une journée.
- L’indice de colmatage moyen du vin filtré est de 60 +/- 10 mesuré sur membrane PALL, ce qui équivaut à un indice de 30 sur membrane Millipore.
- On n’observe pas de perte de couleur significative après filtration sur l’OENOFLOW.
- L’augmentation de température est limitée pendant la filtration car le temps de séjour du vin dans l’OENOFLOW n’excède pas 3 minutes.
- l’OENOFLOW peut être sanitisé par voie chimique.
- Les éléments filtrants peuvent être testés par le contrôle d’intégrité qui se fait par la méthode classique appliquée aux cartouches de filtration finale : le test de maintien de pression ou le test du point de bulle.
- On peut traiter des vins bruts ou des vins collés ; dans ce cas, il convient de respecter le temps de décantation nécessaire. Il faut tirer le vin au clair en cuve (au-dessus des floculats) et c’est seulement en fin de filtration qu’on branchera la manche sur la vanne de vidange de la cuve pour pouvoir filtrer la totalité du volume.
- La taille de lot minimum est de 20 hl : dans ce cas, la perte de degré alcoolique est de 0,1°, valeur maximale qu’il n’est pas souhaitable de dépasser. On peut passer un lot de taille plus faible si le vin précédemment filtré a des caractéristiques voisines, et qu’on ne fait donc pas de rinçage intermédiaire entre les deux types de vins.
- Les quantités de vin restant dans l’appareil à la fin de la filtration sont de 50 à 70 litres. Ce volume résiduel s’appelle le rétentat : il peut être réincorporé à une cuve de vin brut ou conservé dans une cuve.
SAS MERVEIL
165 rue de la Billière
34660 COURNONSEC